1. |
Hard drive crash
03:16
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Hard drive crash*
What’s going on
Is it the heat ?
Ok, a virus now?
I’ve lost control
It’s all black
Oh no, not to me !
My computer went all black,
Suddenly, it was my best friend !
I had all my music on it, years and years of compilations.
Everything I created too, it was gone - in a flash !
I ve lost all my pictures : with David, Steve and Dan…
Hard drive crash*
In the sunset
In Venice
My cat Minnie
My stupid wedding
My friends at the Salsa café
My old flat, my room mates,
All the springs in Madrid
Even my best meals…
I have lost thousands of awesome movies, and seven seasons of tv series
They were all my favorites, I had selected them carefully.
And there was all these videos, I don’t wanna think about them,
I filmed myself dancing, my cat Minnie was running in circles
Nothing will ever be so perfect… Farewell videos, farewell my poems too…
Hard drive crash*
Minnie en contre-jour
Ambre sec sur glaçons
La danse de l’enfant
Triptyque diffraction /Euphorie lumière
Le paquebot coule
Errante au talon cassé
Perdus à jamais…
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2. |
Forget me, love
03:58
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Lui: Honey, are you here ?
The house is empty, most of her clothes still here,
Bottles are missing, no message anywhere…
I wonder, I wonder where she’s gone…
I expected something like that, well…
Not so soon. Not so soon, baby… Not so soon.
Elle: Je suis partie, chéri, sur le dos d’un cheval ailé.
Je suis partie, chéri, car j’attends d’autres promesses…
Il me semble que le monde tourne sans moi, et je ne peux rester assise !
Je te rends ta liberté, oublie-moi, remercie-moi.
Lui: Three days in the booze. Two days in front of the window. The next day I grab my keys, I ride my car…
Elle : Je suis bien cachée, ne tente pas de me retrouver… Mon cheval ailé saura te semer…
Lui : I won’t give up
Elle : You will give up…
Lui : I’ll search everywhere.
Elle : No, let me go…
Lui : I’ll phone to the motels ! All the motels around ! All the motels around !
Elle : I’ll bleach my hair ! I’ll hide my horse. I’ll disappear. Forget me, love.
Elle:
I have crossed the Mexican border ; I feel a tad alone ; I am staying in an empty hacienda ; looking for a new home.
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3. |
¡ Astrologico !
03:42
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Un soir en Espagne,
Une jolie plaza,
Nuit de Malaga,
La foule est dans la rue
Les enfants veilleurs,
Jouent autour de moi,
Toute seule sur un banc,
Un homme vient me parler.
" ¡ Hé ! ¿como te llamas ?
¿Y a donde te vas ?
Siento que miras
a vida sin lagrimas."
Y yo le pregunto :
"¿Hm, cual es tu signo ?
Astrologico,
Dímelo, guapo."
¡ Astrologico !
¡ Dime cual es tu signo !
Aries – limitado
Tauro –intenso
Geminis – perfecto
Cancer – deprimido
Leo – tiranico
Virgo -timido
Libra – razonable
Escorpio – toxico
Tierno sagitario
Infiel capricornio
Sonador acuario
Atleta piscis.
¡ Astrologico ! ¡ Te llevaré al cielo ! No puedes equivocarte si vuelas conmigo.
¡ Astrologico ! La suerte de nuestro lado.
¡ Mira las estrellas, escudos del destino !
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4. |
Les Enfants sur la digue
04:16
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Ils se sont retrouvés en secret,
Se sont échappés après le marché.
L’averse est tombée, fraîche sur les quais,
Leurs sandales usées claquent le pavé.
Il a apporté un petit collier,
Bijou rose et vert avec des reflets.
Elle lui a donné un chapeau d’été,
Qu’il mettra ce soir pour aller danser.
Refrain :
Comme des enfants sur la digue,
Venus défier l'océan,
Aux grands rouleaux qui se brisent.
L'écume vole dans le vent.
Derrière la jetée, parmi les rochers,
Partage de baisers, des baisers volés.
Echangeons nos vœux, rêves d'amoureux,
Les yeux dans les yeux, deux enfants sérieux.
Les yeux dans les yeux, partage de baisers,
Rêves d’amoureux, à l’eau se jeter.
(Refrain)
Au milieu des gens, les corps en mouvement,
Ils se sont montrés, là tout simplement.
Les copains jaloux, se prennent par le cou,
Jettent des cailloux, miment des bisous.
Les deux égarés se sont évadés, se sont envolés.
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5. |
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6. |
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7. |
Mon masque
03:27
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Mets-toi ça dans l’cerveau, moi je mens tout le temps,
Faudrait pas qu’tu t’ennuies dans cette ville de géants.
Mets-toi ça dans l’cerveau, si tu veux, carrément :
Mon discours plein de mots comme un médicament.
Mets-toi ça dans l’cerveau, moi je mens tout le temps,
La vie est sans saveur, elle manque de piment,
J’te raconte des mythos pour qu’le temps passe vite,
J’espère que t’es costaud sentimentalement.
J’te dirai que j’suis seule depuis 2007 ; que j’suis venue ici au volant d’une corvette ;
Je ne mange pas de viande, que des plats sans gluten ; et viens sens moi de près, je n’fume pas de cigarettes.
Bon sang ma gorge est sèche, commande-nous à boire ! J’aime bien tes yeux ! C’est vraiment beau des yeux noirs.
Mon père est millionnaire, ma mère est polyglotte. Il est né en Russie, elle, elle vient de Mayotte.
Ils se sont rencontrés dans les services secrets, et elle a accouché dans leur jet privé.
On ne le dirait pas, mais je suis très croyante ; j’étais super mignonne en première communiante !
Une fois j’étais à Bali, l’alcool y est interdit. J’ai fini en prison, j’y ai passé deux nuits.
Bon, et toi qu’est-ce que tu racontes ? Tu vis ici ? Tu vis ici depuis quinze ans ?! Et t’en as marre, forcément ! Toujours le même bar ! Toujours les mêmes gueules !? Les mêmes histoires ? Mais… Mais qu’est-ce que tu dois te faire chier !
Allez emmène-moi maintenant, on quitte ce bar pourri !!! et puis cette ville de morts-vivants ! On s’fait une nouvelle vie ! Est-ce que t’es prêt à me suivre ? Si t’es pas un zombie ? Tu pourrais faire l’affaire… T’es futé et puis t’es beau, t’es… T’es pas si mal comme mec ! T’es pas si mal !
…J’enlève mon masque…
Mets-toi ça dans l’cerveau, moi j’mentais tout le temps,
Fallait pas que j’m’ennuie dans cette ville de géants.
Je n’aime pas la routine, je n’aime que les voyages.
J’suis une fille de banlieue, je fais un métier d’con.
Je m’défoule au fitness, je fais de la zumba ;
Toi tu aimes danser, c’est rare chez les mecs ; tu m’as bien fait tripper, t’as un sourire impec’.
C’est tout petit chez toi, nous voilà tout collés ; mais ça n’me dérange pas, on s’est bien amusés.
Tiens, une idée en l’air, pour finir le week-end, je prends des billets d’train, on pourrait voir la mer !
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8. |
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9. |
La Fondue au chocolat
02:18
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10. |
Sous les feux d'artifice
03:15
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Les pieds dans le sable frais, une nuit d’été.
Une nuit d’été.
Je suis descendue voir la fête de Juillet.
De Juillet.
Du quatorze Juillet.
Sous les feux d’artifice, je plonge dans l’océan.
Aaaah, fffffouuu
Sur mon corps l’onde est si fraîche, l’air encore chaud.
Si doux et chaud.
La plage est noire de monde, personne dans l’eau.
Non, personne.
Et parfois des fusées partent, des fusées d’enfant.
On attend le grand spectacle, il est imminent.
Et je m’étends, dans l’eau, sur le dos.
De grandes forêts qui brûlent, là-haut !
Des fleurs de pluie qui chutent, si près.
J’aime tant les jours de fête et l’air de Vendée.
Baignade aux Sables d’Olonne, sous le trait lumineux des cafés du remblai.
Des cafés du remblai.
Fourmis rouges qui s’enfuient, là-haut !
La poudre des sons résonne, en moi.
Sous les feux d’artifice, je plonge dans l’océan.
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